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Jarl Alé de Basseville est le fier descendant de Robert II Courteheuse

ale-de-bassevilleJarl Alé de Basseville est le chef du Royaume de Normandie en Exil. Un gouvernement en exil est un groupe politique qui revendique le fait d’être le gouvernement légitime, mais qui pour diverses raisons n’est pas capable d’exercer son pouvoir et réside dans un pays étranger, ou dans une partie différente du territoire. Les gouvernements en exil sont généralement établis dans le but de reconquérir le pouvoir dans le pays ou le territoire dont ils se réclament.

Un Gouvernement en Exil est essentiellement un outil de communication pour tenir en éveil et organiser les exilés, puis sensibiliser et informer la communauté internationale.

Il peut être aussi un outil démocratique efficace pour déstabiliser les gouvernements dit « légitime » en tenant un autre discours aux différentes chancelleries et en offrant des solutions et une alternative possible pour le pays à la communauté internationale.

Né à Bordeaux le 8 juillet 1970, Jarl Alé de Basseville est l’un des derniers descendants directs de la grande lignée des rois Viking et Normands. Non seulement est-il le descendant du roi d’Angleterre Guillaume le Conquérant, du duc de Normandie Robert Courteheuse et du comte de Loritello Robert de Bassonville, il est aussi le descendant du grand Guilhelm de Gellone, lui-même fils de Theodoric IV de Narbonne.

Passionné d’arts, c’est à l’âge de 15 ans qu’il décide de rejoindre celui qui a révolutionné l’art contemporain. C’est alors qu’il apprend les bases du pop art, grâce à la photographie, à la peinture, à la filmographie ou à la sculpture sous les conseils avisés d’Andy Warhol, jusqu’à l’âge de 17 ans, où il s’envole pour Milan.

banque-bassevilleC’est à l’école d’art de Milan qu’il fera la rencontre de celui qui est aujourd’hui considéré comme le dernier surréaliste : Lucchi Renato Chiesa. Ses premières expositions de peinture, organisées par un grand agent New-Yorkais, feront sa renommée mondiale à l’âge de 18 ans. Ces différentes expériences lui permirent d’être reconnu entre autres par le Metropolitan Museum de New York et les experts du monde de l’art. Ses photos deviennent pour certaines mythiques dans les magazines de mode et de tendances, faisant de lui une des coqueluches mondiales.

Après avoir partagé l’univers de la couture avec sa grand-mère, une des dirigeantes d’une grande enseigne française, c’est avec Claude Montana qu’il découvre un attrait tout particulier à la haute couture. Il expérimentera notamment la peinture sur cuir. Jarl Alé peaufinera cette méthode jusqu’à l’extrême en réalisant des sculptures sur tissu. Il développera par la suite cette sensibilité entre ces deux univers en observant l’émergence du rôle de directeur artistique et de création. Il navigue alors entre tendances et contrôle des collections au sein de plusieurs grands groupes français et internationaux.

Il part à Los Angeles au début des années 2000 dans l’optique de créer son propre studio photo et d’assumer pleinement son rôle de directeur artistique. Il y fait notamment la rencontre d’une femme audacieuse, Rosanna Arquette, avec qui il co-produit le film « Searching for Debra Winger ». Une amitié sans frontières naît entre ces deux personnes qui se considèrent aujourd’hui comme frères et sœurs d’âme. Il fait aussi la rencontre de stars hollywoodiennes telles que Jane Fonda, Laura Dern, Salma Hayek, Tom Cruise, Val Kilmer, Brad Pitt etc… Ainsi qu’au sein du milieu musical où il fait la rencontre des Guns & Roses, Michael jackson, Korn, Marilyn Manson, Christina Aguilera, Pink, etc… Le 31 juillet 2016, il créa un véritable séisme politico-people international en acceptant de publier les photos qu’il avait prises de Melania Trump nue dans le New York Post, l’un des plus puissants journaux conservateurs américains.

Le monde associatif fait partie intégrante de sa vie. Jarl Alé a été emporté par le discours d’Elizabeth Taylor et s’est, dès l’âge de 19 ans, engagé dans la lutte contre le SIDA en faisant des happenings peinture destinés à représenter la violence de la maladie (AIDS) et à récolter des fonds. Sa mobilisation continue aujourd’hui autour d’une autre cause non moins importante : offrir travail et éducation aux jeunes filles et femmes de certains pays en voie de développement ; la fondation WOMANITY est représentée par Mr. Yann Borgstedt.

Il est aujourd’hui décidé à s’engager politiquement dans son pays, la France, au sein d’une Europe de culture et de traditions dont il se veut tous les jours l’un des représentants par son charisme et ses allures Viking. Jarl Alé de Basseville revendique rien de moins que le trône d’Angleterre. Tel les chevaliers de la Table Ronde, il poursuit sa route sur cette terre étrangère en quête de ce Graal qui redonnera espoir au monde. Terre-à-terre dans ses propos, il continue à vociférer ceux et celles qui nous dirigent dans le seul but de rétablir l’équilibre dans toutes choses : « Le chef doit être le ciment de la confiance de ses concitoyens et accepter ce devoir qui est le sien : amener la nation au rang qu’elle mérite ». Jarl Alé de Basseville était l’époux de Kiera Chaplin, la petite-fille du célèbre acteur. Il est l’auteur du livre « Mon Devoir », version française du livre « My Duty », publié aux Éditions Dédicaces.

La généalogie du prince Jarl Alé de Basseville, descendant de Thierry IV de Narbonne, Dagobert II et Guilhelm de Gellone.

La généalogie du prince Jarl Alé de Basseville, descendant de Thierry IV de Narbonne, Dagobert II et Guilhelm de Gellone.

Robert II de Normandie dit Robert Courteheuse

robert_normandieRobert II de Normandie dit Robert Courteheuse (né en 1051, décédé le 17 février 1134 à l’âge de 83 ans au château de Cardiff), fils aîné de Guillaume Basseville de Normandie (Guillaume le Conquérant) et de Mathilde de Flandre. Comte du Maine de 1063 à 1069, puis duc de Normandie de 1087 à 1106. Il est aussi un prétendant malheureux au trône d’Angleterre.

En 1058, le comte du Maine Herbert II s’échappe du Mans occupé par le comte d’Anjou et se réfugie à Rouen. Sans enfant, il lègue à Guillaume le comté du Maine et fiance sa sœur au jeune Robert Courteheuse. Après la mort d’Herbert, Guillaume occupe le Mans et y intronise son fils (1063). Ce dernier n’ayant alors que 11 ou 12 ans, le duc de Normandie est donc le véritable maître du Maine. En 1066 Robert ne participe pas à la conquête de l’Angleterre par son père mais ce dernier l’avait désigné avant de partir comme son héritier. L’année suivante, il est chargé avec sa mère de diriger le duché de Normandie pendant le séjour de Guillaume outre-Manche.

En 1069, les Normands sont chassés du Maine. Ce n’est que quatre ans plus tard que le duc Guillaume peut intervenir. Il lance une expédition en hiver qui lui assure la réoccupation du comté. Bien que comte et âgé d’environ 20 ans, Robert Courteheuse ne fait pas partie de la campagne. Son père ne semble pas avoir jugé nécessaire de l’avoir à ses côtés. Son surnom de Courteheuse (courtes bottes) provient de sa taille râblée. Resté longtemps dans l’ombre de son père, Guillaume « le Conquérant », Robert aspire au pouvoir.

En 1077 Le rupture entre Guillaume et Robert intervient suite à un incident. Le chroniqueur Orderic Vital explique les faits. Le duc et ses trois fils logent dans une maison de l’Aigle. Les deux plus jeunes, Guillaume Le Roux et Henri, s’amusent aux dés, font grand bruit et, de l’étage, déversent de l’eau sur Robert et ses amis. Furieux, Robert s’apprête à corriger ses frères mais le duc intervient pour freiner sa fureur. Le lendemain, Robert quitte en secret l’armée ducale, tente en vain de s’emparer du château de Rouen puis avec quelques compagnons s’exile de Normandie.

Les historiens ont donné deux explications à cette rébellion. D’abord, Robert II ne supporte plus que son père ne lui confie aucun territoire. Non pas que le jeune prince est un homme épris de pouvoir mais il voie ces terres comme un moyen de subvenir lui-même à ses besoins financiers et à ceux de sa suite. Or, comte du Maine et héritier du duché de Normandie, il n’a aucun pouvoir sur l’un ou sur l’autre et donc aucune ressource propre… Son roi de père ne veut pas partager son autorité. Probablement a-t-il peu confiance dans les qualités de gouvernement de son fils aîné. En plus de cette frustration, la révolte de Courteheuse peut s’analyser comme un « classique conflit de génération ». D’un côté, un père représentant d’une époque austère. De l’autre, un prince libéral, fastueux, témoin d’une jeunesse bouillonnante.

Robert Courteheuse Basseville de Normandie trouve d’abord refuge chez son oncle Robert le Frison puis à la cour du roi de France Philippe Ier, soit deux ennemis du duc de Normandie. Le Capétien ose confier au rebelle la forteresse de Gerberoy face à la frontière Normande. En 1078, épaulé par le roi de France, il revendique son droit au duché de Normandie en réunissant une armée à Gerberoy, place forte perchée sur une butte du Pays de Bray. Guillaume apprenant la nouvelle débarque à Dieppe et entreprend le siège de Gerberoy. Après trois semaines de combats Guillaume de Normandie abandonne la partie tandis que son second fils Guillaume « le Roux’ » blessé, se réfugie au monastère de Saint Germer.

En 1080, réconcilié, tout du moins provisoirement, avec son père, il reçoit un commandement pour rétablir l’ordre dans le comté de Durham et imposer l’autorité Normande au roi d’Écosse. C’est à cette occasion qu’il fonde la forteresse de Newcastle. Robert reçoit des responsabilités en Angleterre aux côtés de son oncle Odon de Bayeux. Puis il préfère s’exiler à nouveau en 1083, sa mission accomplie, il abandonne ses fonctions.

En 1087, à la mort de son père, il reçoit le duché de Normandie. Celui-ci retrouve l’indépendance mais retourne en même temps à l’anarchie car Robert II, selon l’historiographie Anglo-Normande le dépeint comme un prince faible et turbulent qui malgré ses exploits guerriers lors de la première croisade… Sans grande volonté et incapable de s’imposer, ce n’est pas un homme d’État. La tâche de Robert se complique très tôt par le fait que les principaux barons Normands tels Guillaume d’Évreux, Raoul II de Tosny, Guillaume de Breteuil ou Robert II de Bellême ont pris le contrôle des châteaux en expulsant leurs garnisons ducales, aussitôt la mort de Guillaume le Conquérant connue. Les désordres reprennent. « La province tombe en dissolution, les brigands parcourent en troupes les bourgs comme les campagnes, et des bandes de voleurs se livrent à toute sorte d’excès contre le peuple désarmé » sans que le duc réagisse. La dégradation de l’autorité ducale se perçoit à travers le retour des guerres privées.

Guillaume le Conquérant avait réussi à les contenir, chose que son fils n’arrive pas à faire : Guillaume de Breteuil dispute le château d’Ivry-la-Bataille à son vassal Ascelin Goël. Robert II de Bellême rallume la vieille querelle entre sa famille et les Giroie et leur alliés, les Grandmesnil. Le comte d’Évreux, Guillaume ravage les terres de Raoul II de Tosny. Autre difficulté pour le duc : la noblesse qui a souvent des terres de chaque côté de la Manche est partagée entre le soutien à Robert Ier et celui à Guillaume le Roux son frère, des seigneurs incitent chacun des deux frères à s’emparer du domaine de l’autre… Dans un premier temps, le duc de Normandie est à son avantage.

La princesse Sybille de Conversano suçant le poison de la blessure de son mari Robert Courteheuse, duc de Normandie, par Félix Auvray (1835).

La princesse Sybille de Conversano suçant le poison de la blessure de son mari Robert Courteheuse, duc de Normandie, par Félix Auvray (1835).

En 1088, une coalition de puissants barons tant en Angleterre qu’en Normandie, peut-être attirés par sa prodigalité, se déclare en faveur de la réunion des deux parties sous la direction de Robert Ier. Une rébellion contre le roi d’Angleterre s’organise pour le renverser, elle échoue, puis, c’est au tour de Guillaume le Roux de se trouver en position de force.

Il rallie plusieurs barons Normands (Roger de Mortemer, Robert d’Eu, Etienne d’Aumale, Gautier II Giffard, Gérard de Gournay) et débarque en Normandie. Finalement, les deux frères se rencontrent à Rouen et se réconcilient. Le roi d’Angleterre accepte même d’aider Robert à récupérer toutes les terres qu’il a dû concéder dans le duché pour s’attacher des fidélités. Au premier chef, est visé Henri Beauclerc qui a reçu du duc le Cotentin et l’Avranchin en 1087/1088 en contrepartie d’une bonne partie de l’argent qu’il a reçu en héritage. Ensemble, Robert et Guillaume mènent campagne contre leur cadet, ils l’assiègent au Mont-Saint-Michel. Henri rend la place et s’exile.

En 1091, il signe un accord (Consuetudines et Justitie) avec son frère Guillaume le Roux, roi d’Angleterre, prévoyant que si l’un des deux meurt, l’autre lui succède automatiquement. Cet élan de fraternité est en fait dirigé contre le troisième frère Henri qui attend patiemment son heure.

En 1096, Robert laisse le duché en gage à Guillaume, s’engage dans la première croisade, plus attiré par l’art de la guerre que par les affaires du duché, il lève une armée, et part en 1096 pour la première croisade aux côtés de Baudouin de Boulogne et Godefroy de Bouillon. Le 1er janvier 1097, les Normands de Normandie et d’Italie, sous la conduite de Bohémond, Tancrède et Robert Courteheuse mettent en déroute l’armée Turco-Arabe à la bataille de Dolyré. Robert s’illustre une fois encore, en 1098, lors du siège et de la prise d’Antioche, et participe à la prise de Jérusalem en 1099.

En 1100, Guillaume est tué lors d’une partie de chasse et Henri Beauclerc revendique aussitôt le royaume d’Angleterre, ce que les barons Anglais acceptent. Robert revient de croisade et ne peut qu’admettre le fait accompli mais cela ne suffit plus à Henri Ier Beauclerc qui souhaite également récupérer la Normandie… De plus Robert II revient avec une épouse ramenée d’Italie du Sud, Sybille de Conversano, fille du comte Normand Godefroi de Conversano et petite-nièce de Robert Guiscard, de cette union naît un fils, Guillaume Cliton, héritier du duché de Normandie.

Si le duc de Normandie récupère son duché sans opposition, il arrive quelques semaines trop tard. Guillaume le Roux est mort accidentellement un mois auparavant et son frère Henri Beauclerc en a profité pour s’emparer de la couronne d’Angleterre (5 août 1100). En 1101, il débarque à Porsmouth pour faire valoir ses droits. Henri Ier Beauclerc résiste à l’armée ducale. Contraint de parlementer, Robert Courteheuse, par le traité d’Alton, renonce finalement à ses prétentions au trône d’Angleterre et rentre pacifiquement en Normandie.

1105, la trêve est de courte durée. Henri 1er Beauclerc, voyant en Robert une menace sérieuse quant à l’intégrité de l’Angleterre et de la Normandie, envahit le duché, et, après s’être emparé de Caen et de Bayeux, Henri Ier interrompt, un temps, sa campagne pour retourner en Angleterre.

En 1106, Le 28 septembre, à l’issue d’une brève mais violente mêlée, l’armée du roi Henri Ier, grâce à une brillante manœuvre menée par le comte du Maine, Élie de la Flèche, prend l’ascendant sur l’armée ducale. Capturé à l’issue des combats, déchu de ses droits, Robert II est conduit en Angleterre pour être emprisonné à Cardiff. Artisan de la réunification du royaume Anglo-Normand, Henri 1er Beauclerc est reconnu duc de Normandie le 15 octobre 1106.

Robert est enfermé d’abord à Wareham (Dorset) brièvement, puis à Devizes (de 1106 à 1126), et enfin au château de Cardiff (pays de Galles). Son fils, Guillaume Cliton Basseville de Normandie, alors enfant, échappe aux mains du roi d’Angleterre. Devenu majeur, il tente en vain de récupérer le duché de son père et trouve la mort en 1128. Dans sa prison, Robert lui survit puisqu’il meurt en février 1134, à plus de 80 ans, au terme d’une captivité aux conditions honorables.

Il est inhumé dans l’église abbatiale Saint-Pierre à Gloucester, où un mausolée sera construit. Son frère paie une bougie qui doit brûler éternellement pour le salut de son âme…

Bien qu’elle marque profondément l’histoire de la Normandie, de l’Angleterre et de la couronne de France, la bataille de Tinchebray ne constitue en aucune façon une quelconque revanche d’Hastings. Pour les Normands, cette bataille ne fait que redonner le duché au plus jeune fils du Conquérant, un duché qui, après plus de 20 ans de désordre, va de nouveau connaître paix et prospérité. Comme par le passé, les Normands continuent d’être gouvernés selon leurs propres lois et coutumes. De la même manière, l’Angleterre entretient des relations ténues avec la Normandie tandis que la Couronne de France se sent plus que jamais menacée par l’unité retrouvée d’un royaume Anglo-Normand de plus en plus puissant.

Monument à la mémoire de Robert Courteheuse dans l'église abbatiale de Saint-Pierre de Gloucester.

Monument à la mémoire de Robert Courteheuse dans l’église abbatiale de Saint-Pierre de Gloucester, en Angleterre.